Mi sbagliavo. Vous savez quelles nouvelles, direte voi. Mais la nouveauté est, à savoir que je n'ai jamais été si heureux d'avoir tort. Je pense que pendant un certain temps que vous avez remarqué dans mon post l'ombre de la fatigue, il semble un pessimisme voilé en ce qui concerne la patchwork, comme si je l'avais arrêté d'attendre à l'horizon lointain de la mer devrait augmenter ce fil de fumée, des moyens colorés, et qu'ils se dissolvaient les illusions que je l'ai toujours accrochaient depuis que je commencé à couper et coudre les fragments de tissu. Je vous avoue que, autrefois, certains ont fait son pire démoraliser, ce malgré tout ce que j'enduré et tout ce que je pourrait rester immobile, mais finalement je ne pouvais pas résister à l'inconfort causé par le sentiment que j'ai été témoin d'un coucher de soleil, le pliage de la patchwork sur lui-même, la répétition des thèmes vus, les joints dans la direction de l'effet pur, les performances irréalistes qui manquaient à la fois l'art que la technique, e, endolori, l'exiguïté d'un changement de génération prometteuse. Les premières fissures avaient formé il y a quelques années, Quand ils étaient trop fréquents déjà vu, l'impression de soupe chauffée juste pour comprendre, et de recevoir des éloges et des récompenses ont été les noms habituels suspects. Ah, quelle erreur mon! J'étais aveugle, mais maintenant je vois. Qui a fait le miracle? un nom: 25° Carrefour Européen du Patchwork.
Cet article est aussi un avertissement sur la façon facile et difficile à trouver autour de nous. Facile, parce qu'il n'y a pas de programme compilé pré-, des objectifs et des plans d'itinéraire imposé obligatoire mars. Difficile, parce que vous allez un peu’ aventure, l'adaptation à ce qui est dû et toujours sympathique à l'inattendu ou l'insolite. Facile, parce qu'il n'y a rien à faire, mais se laisser emporter, par un bus, un train, un courant, émotion, illusion. Difficile, parce qu'elle le fait avec la lenteur dictée par les contingences logistiques et notre tempérament flegmatique. Voulant nous mettre sur la charge de onze tu me laisses me souviens à quel point notre style « Voyage » peut sembler, avec raison, malavisé.lire →
Eccomi qua. In ritardo come al solito.
So già cosa vi state aspettando, la mia periodica tiritera su quanto siano affascinanti Praga e la Boemia in generale, tanto più in occasione del Prague Patchwork Meeting. Insomma il solito strazio. Errore. Calma, calma, non si pensi che Praga abbia ormai perso la sua capacità di suggestionarmi, o che, dopo ben undici anni, undici presenze, undici viaggi, io non trovi più ragioni per andare a vedere il patchwork boemo. Non sia mai detto.lire →
prémisse, tanto per esser chiare (ma quando mai…). Su questo post non tratto di patchwork, di cucito creativo, e nemmeno di stoffa, ma in fin dei conti nulla può prescindere dal patchwork, dal cucito creativo, e dalla stoffa. Cerco di spiegarmi (illusa…). Anamnesi: inverno, poca luce, polso e mano doloranti, umore grigio ardesia, ispirazione latitante. Diagnosi: metereopatia strisciante e inizi di malinconia. Prognosi: aggravamento dei sintomi in assenza di trattamento polifunzionale. Cura: vedi qui, di seguito. lire →
Un mese, no dico, dal mio ultimo post un mese senza telefono, e ovviamente senza internet, ma come si fa? Finalmente qualcosa si è mosso, e allora, prima che la linea decida nuovamente di sparire, ho buttato giù in fretta e furia questo articolo su un’esperienza sinestetica che difficilmente dimenticherò.
C’è chi va in Val d’Argent, chi va a Birmingham, chi va a Karlsruhe, chi va a Houston, chi va a Tokyo, chi va a Biarritz, chi va a Paducah, chi va a Veldhoven, e c’è anche chi si inoltra sino ai piedi della Montagna Nera per una mostra patchwork, ma soprattutto lo fa a sua insaputa.
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